Librairie interlignes
Commentaires
Dans cette rubrique, vous êtes invités à écrire vos appréciations sur le site Internet, la librairie, ou les livres que vous avez lus et aimés.
Nous incluerons vos critiques de livres dans la rubrique Vos coups de cœur.
Jean Yves Cousseau, Graffitis, quartier Montparnasse, Paris, 2010
Écrire commentaire
Fred (lundi, 02 août 2010 20:17)
Site magique. nous avons hate de découvrir la librairie !!!!!
BRETIN Françoise (jeudi, 16 septembre 2010 13:34)
Félicitations pour ce site convivial et déjà très riches en informations.
J'ai hâte maintenant de découvrir la librairie !
Bon courage à tous et...à bientôt j'espère.
Congnard Marc (samedi, 18 septembre 2010 09:48)
Bravo et felicitations.
Comme quoi , La Sagem mène à tout à condition d'en sortir
Julie Kyndt (lundi, 20 septembre 2010 15:28)
Bonjour à toute l'équipe,
Bravo pour ce site sobre et élégant qui donne envie de venir voir la librairie de plus près !
Pour les aménagements futurs du site, pourquoi pas ajouter quelques photos intérieures de la librairie sur la page d'accueil ?
Membre de l'équipe dont je suis la nièce (quelle confidentialité !!), je t'envoie la suite de mes remarques par email ^^
LEBRUN (mercredi, 22 septembre 2010 18:48)
Je connais la librairie et je découvre le site . Bravo ! j'apprécie la rubrique coup de coeur qui donne des envies supplémentaires de lecture.
Briere (samedi, 02 octobre 2010 06:03)
Une idée fantastique la librairie et on ne peut qu’être heureux des personnes qui nous accueille avec tant de chaleur. Une vrai thérapie de venir à votre rencontre.
Je pousse la porte cette odeur de livre me donne l’envie de m’installer confortablement et pourquoi pas devant un café prendre un moment à regarder les livres dans cet endroit si chaleureux, "allez nous allons pousser les murs et installer un petit salon de thé". Je viens de découvrir certains livres que je n’ai lus. Merci à vous trois pour les conseils judicieux et votre gentillesse.
Morgane Masquelier (mardi, 19 octobre 2010 11:00)
Bravo pour ce site ! Il nous tient au courant des nouveautés et des coups de cœur mais également des émissions télé et radio à ne pas manquer, j'adore ! J'en profite pour vous faire part de mon coup de cœur: «Au bon roman», par Laurence Cossé chez Gallimard. Un roman policier sur la commercialisation des biens culturels ! Ivan Georg et Francesca ouvre à Paris une librairie qui ne propose que de la grande littérature, ni nouveautés commerciales ni auteurs de seconde zone, simplement la belle littérature française et étrangère. Comment choisir ces auteurs et comment faire face à la jalousie que provoque ce projet ? Cette librairie est le rêve de tout lecteur et de tout libraire. A lire !
isae (samedi, 13 novembre 2010 20:22)
bravo bravo pour toutes ces infos, précieuses dans la jungle des parutions… un vrai guide, sans la prétention de, un vrai travail de libraire, un vrai, avec ses choix (triples encore !)… vraiment envie de pousser la porte d'Interlignes…
Mireille (mercredi, 26 janvier 2011 11:44)
Je viens d'ouvrir le site, bravo, surtout pour vos courtes et précieuses analyses de bouquins, fort incitatrices à des dépenses livresques gourmandes!
Le site (il va évoluer et prendre son essor semble-t-il, donc prenez mon avis avec toute la précaution nécessaire...)est beau et très clair mais me paraît juste un tout petit peu austère, par contraste avec l'accueil chaleureux et intimiste de votre lieu.Merci encore de vos sagaces conseils, bonne route à ce site!
rosse (jeudi, 09 juin 2011 17:55)
J'ai lu" Tout passe", le recueil de nouvelles de Bernard Comment. Tous les libraires devraient se consoler avec la dernière histoire "Une panne" où un vieillard "d'un autre temps" se trouve dans une bibliothèque sans livres mais remplie d'écrans...
allain glykos (mardi, 21 juin 2011 23:58)
Bonjour,
Merci à vous pour la critique que vous avez faite de mon livre la Signature. Je ne vous connaissez pas, mais vendredi, je me trouvais à Royan à la librairie Rivages pour présenter mon livre. Patrick Fraiche m'a parlé de vous et m'a dit tout le bien qu'il pensait de vous. Alors je suis d'autant plus heureux d'avoir attiré votre attention de lectrice.
En espérant pouvoir vous rencontrer un jour
cordialement
allain glykos
Hélène B (mercredi, 05 septembre 2012 15:18)
Je ne me sens absolument pas visée par l'emploi de l'expression 'série addictive' pour la critique de Frédéric sur le tome 16 de la BD Walking Dead
rosse (dimanche, 09 septembre 2012 10:11)
Billet d'humeur. Pourquoi ce succès de librairie pour "la liste de mes envies" de Grégoire Delacourt ? Jocelyne, mercière à Arras ne m'a rien apporté, son pathos ne m'a pas intéressé, bref je n'ai pas cru à son histoire.
rosse (dimanche, 09 septembre 2012 10:20)
J'ai lu "le journal d'un corps" de Daniel Pennac. Un journal ? Cela rebute souvent les lecteurs mais l'intérêt de ce livre vient du fait que chacun peut se retrouver dans le comportement de cet homme. Dans les inhibitions dues à son éducation et comment on apprivoise son corps. Tout est juste vrai, j'ai beaucoup aimé.
Reboul C (samedi, 31 août 2013 15:58)
Le site est aussi intéressant que la librairie elle-même, félicitations!
J'ai lu "Une planète dans la tête" de Sally Gardner et voici le résumé et l'appréciation que j'en ai fait:
1956. Standish, adolescent dyslexique, vit avec son grand-père, dans la "Zone sept", celle des impurs, avec pour seule compagnie le silence de puis que ses parents ont du fuir. Mal vu dans son école, son seul ami est Hector, son nouveau voisin. Ensemble, tous leurs rêves s'accomplissent et ils découvrent une nouvelle planète: Juniper, où tous les habitants seront heureux.
Pourtant un jour, plus aucune trace d'Hector et de ses parents...une dangereuse aventure attend alors Standish.
C'est un livre bien écrit, mais sombre avec une fin décevante et incomplète à mon goût.
Dob Gerard (dimanche, 14 février 2016 13:21)
Amateur de policier, je passe une fois par semaine chez Interlignes.
Le site ne me parait pas austère (cf Mireille #9), mais plutôt manquer un peu de références dans rubriques "coups de cœur". N y ajoutez surtout pas de pub !
J'adore l'aspect "de quartier" de la librairie et témoigne de l'excellent accueil
dénué de toute agression commerciale.
Gerard
punky (jeudi, 24 mars 2016 01:01)
bonjour, je suis très contente que vous ayez un site .ma fille adore votre librairie donc je voulais savoir si un jour se serais possible de commander directement via le site ? j'ai 3 saga a terminé ;)
l'épée de vérité
les héritier d'enkidiev
ect
Librairie Interlignes (jeudi, 24 mars 2016 15:14)
Il vous est possible de commander des livres par la rubrique Contact du site Internet qui permet de renseigner votre adresse courriel et d'ainsi être prévenu de la réception du livre à la librairie.
Philippe Ballesio (dimanche, 28 octobre 2018 12:08)
Bonjour
Pourriez-vous me réserver ou commander "Comment la troisième République a sombré " aux Presses Univerditaires de Nancy EAN 978-2814305106 ?
Je vous en remercie
Philippe Ballesio
Ps : il semble que la vérification "I'm not a robot" soit anglophone.
Marie Christine Rosse (jeudi, 15 avril 2021 15:05)
Echo de lecture du livre « un bref instant de splendeur » de Ocean Vuong
Ce livre raconte comment un enfant, sa mère et sa grand-mère, tous trois réfugiés du Vietnam, arrivent aux Etats-Unis. Ce « little dog » comme on le surnomme se construit à Hardford, entre misère, violence, souvenirs atroces et amour de la beauté. Ce livre magnifique, construit sur une temporalité narrative habilement menée, toute en déstructuration, s’adresse d’abord à la mère analphabète sous forme d’une lettre. Cette adresse ne reviendra que par intermittence pour finir en chant d’amour dans les dernières pages. La construction des retours en arrière de mille souvenirs comme ceux de la guerre du Vietnam sont racontés avec un choix de mots subtils, crus et poétiques.
« La fois où » ouvre un premier souvenir, une première histoire, le leitmotiv du problème de la langue, (trouver une troisième langue), il cite Barthes à ce propos A treize ans, il se rebelle, sa mère ne le battra plus « lever sa main sur un enfant c’est le préparer à la guerre ». Puis viennent les découvertes, Chopin, la grand-mère Lan, son riz parfumé, ses histoires racontées, la scène du singe décapité, dont on mange la cervelle. Ce va et vient constant entre les horreurs de la guerre, la violence, la folie de la mère, et les choses délicates, un chevreuil, des papillons, un colibri, un veau.
Puis, les humiliations, les coups qu’il reçoit des gamins américains dans le bus. Le vocabulaire choisi, une langue aux mots subtils, les images saisissantes toujours en contraste. La scène folklorique où chez le boucher, sa mère lui demande de traduire une langue de bœuf qu’elle veut acheter. « Little dog » est le seul de la famille à parler anglais. Des scènes au salon de manucure où la mère travaille dur, comme lorsqu’il aide une vieille unijambiste. « Le salon était accablé par les rires » Le soir, la mère qui rentre épuisée « son teeshirt déchiré comme une pomme coupée en deux ». Le premier travail de « Little dog » dans le champ de tabac, la première rencontre, Trevor, le premier amour. La mort de Trevor, « sa petite virgule au cou ».
L’écriture, l’art, la poésie. La mort de la grand-mère Lan. « Sa peau a renoncé, ses yeux ont sombré ». L’enterrement à Saïgon.
La première fois avec Trevor décrite avec crudité, violence, aucun détail n’est épargné, et plus loin, il dit « c’est pour la beauté que nous nous mettons en danger ».
L’adresse à la mère qui revient. Comme chez George Perec le « Je me souviens » ouvre des passages sur le grand-père américain qui n’était pas le grand-père biologique. Puis, des images de paysages « une teinte ambrée comme si nous étions dans une boule de neige pleine de thé », une citation de Toni Morrison et il revient sur les papillons Monarque. Un retour sur la scène où son père menottée est emmené par la police, après avoir battu à mort sa mère.
En parlant de sa mère, « J’étais une plaie béante au beau milieu de l’Amérique et tu étais à l’intérieur de moi »
Pour finir cette phrase : « Pour être magnifique, il faut d’abord être vu, mais être vu permet que l’on vous chasse. »
Un livre qui nous interroge sur l’identité, l’acceptation de l’homosexualité, l’amour filial, et surtout sur la nécessité d’écrire.
De Figueiredo (samedi, 26 juin 2021 12:36)
Bonjour , vendez vous des mangas ? Merci
Librairie Interlignes (dimanche, 27 juin 2021 08:56)
Bonjour,
Oui, nous vendons des mangas et en commandons.
Cordialement.